
Deux personnes ont été inculpées et placées en garde à vue en France après avoir découvert qu’elles exploitaient peut-être plusieurs sites de casino illégaux. On estime que le réseau de jeu a généré près d’un milliard d’euros (1 169 425 000 dollars) au cours de ses cinq années d’activité. Les enquêtes ont atteint leur paroxysme lorsque les utilisateurs essayant de retirer leurs gains n’ont pas pu.
Eurojust, une agence d’enquête criminelle pour les pays européens, a eu recours à la coopération judiciaire avec Chypre pour faciliter l’enquête, car il a été constaté que les gestionnaires du site résidaient dans le pays. Au cours de l’enquête, les forces de l’ordre ont découvert que plus de 100 millions d’euros avaient été transférés entre 2022 et 2025.
Durant sa enquêteles personnes impliquées se sont réunies pour coordonner les recherches à Chypre et à Malte. Cela a donné lieu à la comparution de deux hommes devant le juge d’instruction en France, qui ont été inculpés. Les frais comprennent :
- Organiser des jeux de hasard interdits
- Opérant au sein d’un gang organisé
- Proposer des jeux en ligne illégaux
- Blanchiment d’argent
Eurojust ordonne le gel des avoirs d’une paire de bagues de jeu
Bien qu’ils aient été inculpés, ils attendent désormais leur procès et sont en détention. Les avoirs des deux hommes ont été gelés. Cependant, ni Eurojust ni aucune des autorités européennes impliquées dans l’affaire n’ont nommé les sites de jeux en question.
La France et une bonne majorité des pays européens autorisent les jeux de hasard, mais ont mis en place des réglementations strictes pour les contrôler. Ainsi, dès qu’un opérateur enfreint la loi, les enquêteurs agissent généralement rapidement pour aller au fond des choses.
Comme nous ne connaissons pas les sites en question, il vaut toujours la peine de vérifier si un casino en ligne possède ou non une licence. Ne tombez pas dans le piège des sites qui utilisent de fausses licences, mais assurez-vous de vérifier auprès du concédant de licence annoncé pour voir s’ils sont légitimes. Certains organismes de surveillance auront une liste dédiée, comme à Malte ou au Royaume-Uni.
Image à la une : Eurojust